Tu sais mon biquet, il fut un temps, j’étais wedding planner.

Késako wedding planner, tu te demandes ? Putain, j’te jure, on n’est pas aidé avec toi ! T’as arrêté l’anglais en 5ème ou t’as choisi Allemand en première langue et Russe en seconde ?

Bref. Wedding planner, c’est le mot funky pour dire que j’organisais des mariages.

(« planificateur de noces« , qu’ils disent même sur Reverso. Trop coincés, ceux-là !)

Bon, alors je vous épargne les détails du genre « ouais, c’est super. C’est magique comme métier. C’est formidable de participer au plus beau jour de la vie de nos clients. Et bla et bla et bla. Et mon cul sur la commode« . La vérité, comme n’importe quel boulot, c’est chiant !

Sauf que je suis restée super copine avec mon ancienne collaboratrice. Alors quand elle m’a demandé de lui donner un coup de main sur les salons du mariage, je n’ai pas pu refuser. Ma bonté me perdra un jour, je crois. Ou ma cupidité, je ne sais pas trop …

J’ai échappé au Carrousel du Louvre la semaine dernière grâce à mon escapade Body Shopesque. Mais l’influence n’a pas encore frappée à ma porte au point d’occuper tous mes week-ends. Du coup, aucune excuse pour ce week-end.

J’ai donc passé les deux derniers jours au Parc Floral pour le grand salon du mariage.

Youhouhhhhhhh !!!

(tu peux lever les bras et faire une ronde si tu veux)

C’est-à-dire que le Parc Floral, c’est pas le Carrousel hein ! Tu sens bien que t’as dépassé le périph’, si tu vois ce que je veux dire. Tu ne vois pas ? Ah bah regarde par toi-même, ça se passe de commentaire :

raccord avec le sac plastique, tu me diras …

DE TOUTE BEAUTE !

Avec toutes ces conneries, on a oublié de tirer au sort le grand gagnant de l’amour. Je trouve un chapeau, une main innocente et je reviens vite avec les résultats … (en attendant, tu peux acheter ma transparence en m’adressant un chèque par exemple)